- Vous devez prendre la parole en public, passer un entretien et vous êtes tétanisé ?
- Le moindre imprévu vous met en état d’alerte ?
- La peur vous bloque dans vos projets ?
- Vous avez toujours peur que quelque chose de grave ne se produise ?
- Vous en rêvez, mais vous n’osez pas apprendre à danser, chanter, peindre…
- …
Bien sûr, au fond de vous vous savez que ce n’est pas raisonnable. Et pourtant, malgré vous, la peur et l’anxiété s’installent.
Parler en public, passer un oral ou un entretien. J’ai longtemps été abonné aux sueurs froides de ces exercices. Participer en classe était déjà une épreuve.
Et à côté de cela, je suis tout à fait capable de sauter à l’élastique d’un pont de 180m de haut.
Il n’y en a pas justement et ce n’est pas du côté de la logique que la solution se trouve.
Alors, où chercher ?
Dans les parties plus anciennes du cerveau : le cerveau reptilien et le cerveau émotionnel. Le cerveau reptilien est, entre autres choses, chargé de la survie. S’il sent une menace, il fait monter le stress afin de pouvoir faire face.
En allant travailler là où est engrammé le mécanisme instinctif de défense. On va accompagner le cerveau pour réviser sa carte des dangers. Et par couches successives, on va explorer les liens qui se sont créés et les défaire.
Ainsi, pour un même stimulus, on obtient une réponse différente.
Comme pour les autres réponses « automatiques » (phobie, addiction…), plusieurs origines sont possibles et parfois se cumulent :
Elles peuvent être reliées à des expériences traumatisantes. Qu’on s’en souvienne ou pas, le cerveau en a conservé la trace. Et face à certaines situations « spécifiques », qui ne présentent pourtant aucun danger, le cerveau se met en alerte.
Cela peut être un apprentissage inconscient.
Concernant les inhibitions, il y a souvent une problématique avec l’image ou l’estime de soi.
Dans tous les cas, la personne ne parvient pas à rester au présent. Elle est happée par le terrible résultat qu’elle appréhende.
Plusieurs techniques permettent d’accompagner ces problèmatiques.
En particulier, l’EMT (technique proche de l’EMDR), TIPI, l’hypnose et la kinésiologie.